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Cycle production/vente
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8.
Selon IFRS 15, la comptabilisation d’un produit des activités ordinaires requiert une analyse
en:
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3 étapes
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5 étapes
■
4 étapes
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6 étapes
9.
Par prudence, une entité ne doit inclure dans le prix de la transaction tout ou partie du
chiffre d’affaires variable que dans la mesure où il est très probable que ce montant ne
subira pas ultérieurement de révision à la baisse lorsque l’incertitude associée sera levée.
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Vrai
■
Faux
10.
La norme IFRS 15 « Produits des activités ordinaires issus des contrats avec des
clients » ne s’applique pas :
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Aux contrats de location qui font l’objet d’IAS 17
■
Aux contrats d’assurances couverts par IFRS 4
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Aux contrats de prestations de services
■
Aux contrats qui s’échelonnent sur plusieurs exercices
11.
Pour déterminer le prix de la transaction, une entité ne doit pas ajuster (actualiser) le
montant de la contrepartie pour tenir compte des effets de la valeur temps de l’argent si le
contrat contient une composante significative de financement.
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Vrai
■
Faux
12.
L’affectation du prix de la transaction aux différentes obligations de performance est
basée sur les prix de vente autonomes de chacune des obligations de performance.
■
Vrai
■
Faux
13.
Le prix de vente autonome est le prix auquel une entité vendrait un bien ou un service
séparément à un client. La meilleure estimation de ce prix est le prix observable d’un bien
ou service lorsque l’entité vend ce bien ou service séparément dans des circonstances simi-
laires et à des clients similaires.
■
Vrai
■
Faux
14.
Le chiffre d’affaires est comptabilisé dès lors que l’entité satisfait à son obligation
en transférant au client le bien ou en exécutant le service, à la date à laquelle le client
acquiert le contrôle du bien ou reçoit le bénéfice associé au service.
■
Vrai
■
Faux
15.
Lorsque l’obligation est satisfaite de façon continue dans le temps (cas des contrats
de services ou des contrats de construction s’étalant sur plusieurs périodes comptables)
l’entreprise doit utiliser une méthode objective pour mesurer le degré d’avancement de son
obligation et ainsi déterminer le montant de chiffre d’affaires à comptabiliser.
■
Vrai
■
Faux
16.
Une entité ne doit pas comptabiliser comme un actif les coûts marginaux de l’obten-
tion d’un un contrat avec un client même si l’entité s’attend à recouvrer ces coûts.
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Vrai
■
Faux