Table of Contents Table of Contents
Previous Page  580 / 942 Next Page
Information
Show Menu
Previous Page 580 / 942 Next Page
Page Background

7.

Comment sont présentées les participations ne donnant pas le contrôle dans les états

financiers consolidés ?

En capitaux propres, séparément des capitaux propres des propriétai-

res de la société mère.

8.

Les variations du pourcentage de détention des titres de participation d’une société

mère dans une filiale sans perte de contrôle ont un impact sur :

Les capitaux propres. Il s’agit de transactions conclues avec les pro-

priétaires agissant en leur qualité.

9.

La perte de contrôle d’une filiale a un impact sur le résultat consolidé.

Vrai

10.

Une entité d’investissement doit :

Évaluer ses participations selon la méthode de la juste valeur par le

biais du résultat net, conformément à IAS 39.

E X E R C I C E C O R R I G É

1.

L’investisseur A détient 40 % des droits de vote d’une entité faisant l’objet d’un investis-

sement, 12 autres investisseurs en détenant chacun 5 %.

Une convention entre actionnaires donne le droit à l’investisseur A de nommer et de révo-

quer les membres de la direction chargés de diriger les activités pertinentes et de déter-

miner leur rémunération. Pour modifier la convention, il faut les deux tiers des voix des

actionnaires.

2.

L’investisseur B détient 45 % des droits de vote d’une entité faisant l’objet d’un investis-

sement. Deux autres investisseurs détiennent chacun 26 %, le reste étant détenu par trois

autres actionnaires à raison de 1 % chacun.

Il n’existe pas d’autre accord ayant une incidence sur la prise de décision.

Déterminer si A et B contrôlent respectivement l’entité faisant l’objet d’un investissement.

Le nombre absolu d’actions détenues par A et l’importance relative des autres participa-

tions ne permettent pas de déterminer de façon concluante si les droits de vote détenus

par A sont suffisants pour lui donner le contrôle. Toutefois, le droit contractuel de nommer

et de révoquer les membres de la direction et de déterminer leur rémunération est suffi-

sant pour conclure que A a le pouvoir sur l’entité faisant l’objet d’un investissement.

L’importance du bloc de droits de vote détenus par B et son importance relative par rap-

port aux autres participations, permettent de conclure que l’investisseur B n’a pas le con-

trôle de l’entité. Il suffirait en effet de la collaboration de deux autres investisseurs pour

l’empêcher de diriger les activités pertinentes de l’entité faisant l’objet d’un investissement.

Consolidation

580